MENDELSSOHN PAR ABDEL RAHMAN EL BACHA Samedi 28 juin – 20h00Théâtre Debussy - Palais des FestivalsDirection Pavel Baleff Piano Abdel Rahman El Bacha WOLFGANG A. MOZARTLucio Silla – Ouverture (1772)FELIX MENDELSSOHN-BARTHOLDYConcerto pour piano et cordes en la mineur, MWV O 2 (1822)LUDWIG VAN BEETHOV...
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MENDELSSOHN PAR ABDEL RAHMAN EL BACHA Samedi 28 juin – 20h00Théâtre Debussy - Palais des FestivalsDirection Pavel Baleff Piano Abdel Rahman El Bacha WOLFGANG A. MOZARTLucio Silla – Ouverture (1772)FELIX MENDELSSOHN-BARTHOLDYConcerto pour piano et cordes en la mineur, MWV O 2 (1822)LUDWIG VAN BEETHOVENLa Grande Fugue en si bémol majeur pour quatuor à cordes, op. 133 (1824-1825)Orchestration pour orchestre à cordes par Ernest AnsermetWOLFGANG A.Symphonie n°31 en ré majeur, « Paris », KV 297 (1778)« Tantôt libre, tantôt recherchée » sont les mots de Beethoven placés sous le titre de sa Grande Fugue, suggérant une grande liberté d’interprétation et une possibilité de relecture. Conçue à l’origine comme dernier mouvement de quatuor, sa difficulté fait de cette pièce un opus à part entière, et un terrain de jeu sans limite pour de nombreux orchestrateurs tel qu’Ernest Ansermet, chef d’orchestre reconnu du XXe siècle. Contemporain de la Grande Fugue, le jeune Mendelssohn, le jeune Mendelssohn, âgé seulement de 13 ans, s’essaie au genre du concerto et le Concerto pour piano et cordes qu’il crée lui-même au Schaulpielhaus de Berlin. C’est sous les doigts du pianiste et compositeur franco-libanais Abdel Rahman El Bacha, réputé pour les qualités émotionnelles de son jeu, que cette oeuvre de jeunesse reprendra vie. Alors en voyage en Italie, Mozart, 16 ans, compose l’opéra Lucio Silla dont l’Ouverture annonce avec grâce et légèreté, les tourments attendus par les personnages principaux. Quelques années plus tard, cette fois-ci à Paris, il compose la Symphonie n°31 dans laquelle sont glissés tous les éléments appréciés en France à cette époque : grands contrastes de nuances, crescendos spectaculaires, passages brillants et inattendus, solennité des ouvertures à la française. Sometimes free, sometimes learned . These are Beethoven's words, placed under the title of his Grosse Fuge, suggesting a great freedom of interpretation and the possibility of rereading. At the age of just 13, the young Mendelssohn, a contemporary of the Grosse Fuge, tried his hand at the concerto genre and the Concerto for Piano, Violin and Strings, which he premiered himself at the Berlin Schaulpielhaus.
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